Un camion est un véhicule automobile destiné au transport routier de marchandises. Anciennement, cela a été un véhicule à bras tiré par des hommes ou des bêtes
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Sur le plan technique, le camion se distingue du véhicule léger, principalement par une charge à l’essieu et des dimensions plus importantes.
Le routier (routière) ou camionneur (camionneuse) a pour tâche de conduire un camion et de surveiller ou de s’occuper du chargement et du déchargement de la marchandise. Il est nécessaire d’avoir le permis de conduire approprié pour manœuvrer le poids lourd. Dans la plupart des pays, la circulation des véhicules lourds (autobus, autocar, trolleybus, tracteur routier munis d’une remorque) est soumise à une réglementation particulière, notamment en ce qui concerne les temps de conduite.
Étymologie
C’est dans les domaines linguistiques normands et picards qu’apparaît le mot camion à l’époque médiévale. Il s’agit d’un chariot apte au transport ou charriage lourd, modèle décliné en diverses tailles selon l’emploi, par l’art du charron. Le mot passe tardivement en français au début du xixe siècle, les dérivés comme le substantif camionnage et le verbe camion(n)er sont seulement attestés entre 1820 et 1830 en français écrit. Pourtant, le conducteur de cet équipage de transport lourd, le cammion(n)eur est déjà connu dès le milieu du xvie siècle. En réalité, le mot chamion est parfaitement attesté en ancien français vers 13522. Et il est possible de remonter à une forme analogue et expressive, admissible en latin classique, soit carrus magnae rotaeou carrum magnae rotae, c’est-à-dire un « char ou chariot à grandes ou hautes roues »a. Détaillons cette expression romane que l’usage va transformer en carmagnio (forme hypothétique), camion ou chamion. Les mots latins de genre neutre carrus,i ou carrum,i désignent un chariot, le char à quatre roues, le fourgon. C’est un mot emprunté au celtique continental ou langue gauloise. L’expression complète possède un sens proche du mot latin tardif, de genre neutre, carrǎcutium, ii désignant un char à très hautes roues, selon Isidore, apte à la « ruptio », c’est-à-dire à la « route » au sens ancien, précisément là où il n’y a pas de voie aménagéeb. La carruca via n’est qu’une vague trace tout terrain ou un chemin champêtre, en absence de voie correctement aménagée sur un soubassement en dur. On comprend la nécessité de hautes roues ou à défaut, d’une construction robuste.
Les autorités régissant la langue française n’ont jamais considéré les variantes dialectales du français, héritières de l’ancien français. Il en résulte une grande ignorance de ce terme technique au xixe siècle. En effet, le mot « camion » est polysémique en français, il apparaît d’abord officiellement pour désigner d’abord une « très petite épingle3 ». À partir de sa 6e édition (1832-5), le Dictionnaire de l’Académie française ajoute que camion « se dit aussi d’une espèce de petite charrette, ou de haquet, ordinairement traînée par un cheval ou par deux hommes ».
Le Littré définit le camion comme une charrette dont les roues ont très peu de hauteur mais aussi comme un « vase de terre servant à délayer le badigeon » ; camion désigne aussi à l’époque une « petite tête de chardon à carder » et, encore, un « sabot d’enfant ». Émile Littré précise que le mot a aussi pu s’écrire « chamion » et « gomion », au xvie siècle ; il considère l’étymologie du mot comme inconnue, mais le lexique de Corblet estime que camion, ancien dans la langue, est un mot picard passé dans le français. Camion est aussi le nom donné au bac dont se sert le peintre pour tremper son rouleau ou son pinceau.
Littré fait une approche érudite hasardeuse, rappelant que campolus et camuleus, signifient chariot en bas-latin, et évoquent selon lui le radical cam(peut-être le latin cama ; lit très bas). L’espagnol cama signifiait à la fois un lit bas et le fond d’un chariot. Le chamuleus d’Ammien Marcellin est une sorte de traîneau, de voiture très basse4.
En 1932, le Dictionnaire de l’Académie française définit avec plus de perspicacité le camion comme « espèce de charrette basse et lourde qui sert au transport des colis, des pierres, des barriques. Camion à chevaux. Camion automobile. Camion de louage » ; « il désigne aussi le char bas sur roues avec lequel les maçons transportent les pierres de taille » et on l’appelle aussi « fardier ».
Actuellement les linguistes rappellent que cela a été un véhicule à bras tiré par des hommes ou des bêtes1 avant d’être un véhicule automobile.
Histoire[modifier | modifier le code]
Daimler, 1896.


Camion Citroën des années 1950.
Historiquement dans son sens moderne, c’est le Fardier de Cugnot (le fardier est un chariot qui sert à transporter un « fardeau »), créé en 1769, qui apparaît comme le premier véhicule motorisé capable de transporter plusieurs tonnes de chargement. En 1879 et 1880, Amédée Bollée fabrique une petite série de trains routiers à vapeur de 100 ch et d’une capacité de 100 tonnes, premiers véhicules à moteur de transport de marchandises sur route. Le premier camion moderne serait celui inventé en 1896 par Gottlieb Daimler. À la même époque, le constructeur bordelais Valentin Purrey réalise un camion à vapeur dont les raffineries de sucre Say commandent 34 exemplaires5.
Plusieurs constructeurs, parmi lesquels Marius Berliet, produisent ensuite ce type de véhicules qui se développe au rythme de nombreuses innovations techniques : roues jumelées en 1908, transmission, freinage, suspensions, sellette d’attelage de remorque, etc.
Parmi les grandes marques de camions, une grande partie est européenne, comme MAN et Mercedes en Allemagne, Steyr en Autriche, Iveco en Italie, Renault Trucks (anciennement Berliet – Saviem, puis Renault Véhicules Industriels, maintenant part du groupe Volvo) en France, DAF aux Pays-Bas, Volvo et Scania en Suède.
Aux États-Unis, les principales marques sont Chevrolet, Ford, GMC pour les camions de gamme moyenne, les camions légers et les pick-up trucks ; Freightliner LLC, International, Kenworth, Mack, Peterbilt, Sterling, Volvo et Western Star pour les camions lourds.
Au Japon, les principales marques sont les suivantes : Hino (Toyota), Isuzu, Mitsubishi et Nissan (camions de moyen tonnage, légers et « pick-up trucks »).
Description
Presque tous les camions partagent une structure commune : ils sont constitués d’un châssis, d’une cabine, d’un espace pour charger de la marchandise ou de l’équipement, des essieux, la suspension et des roues, un moteur et une transmission. Des accessoires pneumatiques tels que nacelle ; hydrauliques tels que grue auxiliaire et hayon, multibenne ; des systèmes électriques tels gyrophare, feu de travail, klaxon peuvent également être présents. Ce sont des machines complexes.
Cabine
La cabine est un espace clos où le conducteur s’assied. Il peut y avoir en plus un compartiment rattaché à la cabine où le chauffeur peut se reposer pendant qu’un autre conduit ou dans le cas où le(s) chauffeur(s) est (sont) en repos.
Types de cabines
Cabine avancée
Cabine avancée (Renault Magnum).
Une cabine avancée, ou « nez plat », est une cabine où le siège du chauffeur est au-dessus de l’essieu avant ; le moteur se trouvant sous la cabine. Cette conception est presque omniprésente en Europe, où les camions sont strictement réglementés, mais aussi largement utilisée dans le reste du monde. Ils étaient fréquents aux États-Unis, mais ils ont perdu de leur importance à cause de l’extension des voies de circulation, ce qui a conduit à l’utilisation de camions plus grands et à l’autorisation de leur circulation au début des années 1980. Pour accéder au moteur, la cabine entière bascule vers l’avant. Ce type de cabine est particulièrement bien adapté aux conditions de livraison en Europe, où de nombreuses routes suivent le tracé de parcours beaucoup plus anciens et voies de roulement qui exigent une capacité de virage supplémentaire de la cabine. La conception de cabine avancée est due à Viktor Schreckengost (en)6.
Cabine conventionnelle[modifier | modifier le code]
Cabine conventionnelle (Kenworth).
Une cabine conventionnelle, ou cabine à capot, ou cabine reculée, est une cabine où le poste de conduite est situé derrière le compartiment moteur et non pas au-dessus de l’essieu avant. Ce type de cabine est beaucoup plus présent aux États-Unis où la longueur des ensembles routiers est moins réglementée qu’en Europe. Ce type de cabine permet de s’affranchir du capot moteur, souvent présent dans les cabines avancées, la partie couchette est -sur les modèles outre-Atlantique les plus anciens- une cellule rapportée, aménageable à volonté et, sur les modèles plus récents, est désormais intégrée au reste de la cabine.
Modèles et configurations
Les camions se déclinent en de multiples modèles en fonction du type de biens transportés. Ils doivent se conformer à des réglementations très précises. En France, on parle aussi de poids lourd (PTAC supérieur à 3,5 tonnes).
Il existe plusieurs configurations possibles :
- un porteur auquel est parfois accroché une remorque ;
- un tracteur auquel est accrochée une semi-remorque.
Les camions les plus gros sont appelés en France « convois exceptionnels » lorsqu’ils doivent circuler sur des routes ouvertes à la circulation publique alors qu’ils excèdent les dimensions ou les tonnages autorisés par le code de la route.
Le plus grand camion au monde, un tombereau, destiné aux mines, est le Liebherr T 282B.
En Australie circulent des « trains routiers » de 140 tonnes.
En Suède circulent des eco combis, pouvant transporter 75 % de plus de marchandises (en volume comme en masse) qu’un semi-remorque conventionnel.
Ils sont actuellement en phase d’essai dans certains pays de l’UE, comme les Pays-Bas ou l’Allemagne.
Porteur[modifier | modifier le code]
Communément appelé « rigide » dans le jargon professionnel, le porteur possède, sur le même châssis, la cabine et un volume de chargement pour transporter les marchandises. Ce volume peut être un plateau, une citerne, une benne, une caisse souple (savoyarde ou PLSC (parois latérales souples coulissantes communément appelé Tautliner)), une caisse rigide (fourgon) ; ces dernières peuvent être amovibles.
Une remorque peut être attelée pour augmenter la capacité du véhicule mais le tonnage ne doit pas excéder 44 tonnes ; on appelle cette configuration « ensemble routier ».
Beaucoup de porteurs sont des véhicules de livraison urbaine ou régionale (messagerie, distribution).
- Diverses carrosseries
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Un porteur type benne de SNVI(Algérie).
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Un porteur type fourgon frigorifique de 19 t de PTRA (France).
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Un porteur type benne (États-Unis).
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Un porteur type benne multi-lift (Russie).
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Un porteur type fourgon bâché (Royaume-Uni).
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Un porteur type plateau (Japon).
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Un porteur type porte-voitures (Japon).
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Un porteur type plateau à grue de levage (Finlande).
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Un porteur type catering en livraison (États-Unis).
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Un porteur type grumier à grue de levage (Île de La Réunion).
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Un porteur type citerne (République tchèque).
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Un porteur type porte-conteneur à grue de levage (Nouvelle-Zélande).
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Un porteur type autopompe (Pays-Bas).
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Un porteur type super-ambulance (Japon).
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Un porteur transportant un conteneurqui est visiblement un chargement non approprié aux capacités du véhicule, trop lourd, trop volumineux et par conséquent dangereux (Afghanistan).
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Un porteur de rallye (Rallye Dakar).
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